Connaissez vous l'histoire, de la petite Mandarine ? x) [ Mikan R. Nagoshi ]

» Carte d'identité : Mikan R. Nagoshi

• Nom : Nagoshi.
Mon nom ne vous dit rien ? Heureusement pour vous. D'ailleurs, je ne vois pas où vous auriez pu l'apprendre. Cependant, je préfère garder l'anonymat. Venant d'une famille connue, dans le mauvais sens, je m'en détache autant que je peux. J'ai donc changé mon nom qu'était Hirugashi en mon nom actuel qui est Nagoshi. Je me présente sous ce nom, ne voulant attirer quelconque attention sur moi
• Prénom : Mikan Reira
Reira avait la préférence de son père alors que Mikan était le choix premier de sa mère. Il semble bien que c’est la mort de celle-ci dans l’accouchement qui a fait pencher son père pour la préférence de sa femme… Elle a une profonde aversion pour son second prénom, probablement conséquente de la haine qu’elle éprouve envers son géniteur, décédé dans un accident tragique. Quant à son premier prénom, elle l’apprécie assez, probablement à cause de son originalité.
• Age : 19 ans.
Mes souvenirs sont vagues à propos de la date exacte de ma naissance, que je crois situer assez loin dans mon passé lugubre. Je le fête chaque année a la date de mon adoption. Alors que je promenais dans une rue déserte, un étrange sentiment m'a envahi pour me souvenir, en ce jour de novembre, que j'étais né depuis déjà 19 longues années et que j'avais jusque-là, survécu.
• Sexe : Femme
Ce matin encore. C'était féminin. Je peux vous l'assurer xD

» Informations complémentaires

• Sexualité : Bisexuelle. Tendance hétéro.
• Métier : Dans la famille. C'est plutôt une informatrice. Mais comme couverture, elle a choisi le show business en tant que mannequin. Mais tout ceci n'est qu'une façade.
• Mafia : Doku nin'gyou.
Chef de famille depuis un an. Son frère ainé avait disparu suite à une mission. On ne l'a jamais revu. Elle a donc repris le flambeau.
• Armes : - Un poing américain.
Objet offert par son frère. En or, pas trop lourd mais fait bien mal quand on frappe avec. En général elle le préfère aux armes à feu ou armes blanches. Elle l'a sur elle en permanence, un peu comme ses jumelles.
- Un revolver.

Spoiler:

Dans ce genre là. Elle ne s'en sert qu'en de rare occasion. ainsi elle l'oublie souvent chez elle. Par contre elle l'a toujours quand elle en as besoin. Comme par magie ? non. comme de l'intuition. a croire qu'elle sait quand elle en a besoin ou pas.
• Accessoires : - Une paire de jumelle. + capteur thermique en cas de besoin.
Objet indispensable à toute observation et/ou filature. La jeune femme ne s'en sépare jamais. C'est sans doute l'objet qu'elle utilise le plus. Que ce soit au théatre ou n'importe où d'autre d'ailleurs. Le moindre prétexte est bon pour s'en servir.
- Agenda Electronique
Indispensable aussi à la jeune demoiselle ( XD ) Elle est toujours au courant des derniers potins. de tout les trafics et des dernières nouvelles. Elle à une liste de contact impressionnante. Aussi si elle le perdait, ou si on le lui volait : CATASTROPHE.
- Set de poison de toute sorte.
Toujours sur elle également. Elle s'en sert toujours quand dans des situations compliqués. On pourrait la qualifier de veuves noires. Elle injecte des doses de drogues mortelles à ses victimes et les laissent mourir en se délectant de leurs souffrance. Mais quelle sadique \o/

» Description Physique

Troublante apparition.
Belle et gracieuse, Mikan possède un physique que toutes les femmes de son âge voudrait avoir: maigre, grande... Elle fascine autant mentalement que physiquement. La "poupée empoisonnée " ou " Doku nin'gyou " possède de longs cheveux d'un noir de jais, des yeux vert tournant vers le flashy, qui malheureusement, se remarque très facilement. En effet, ses yeux cerné de deux ligne d'eye liner noire et surplomber de long cil laisse bien voir la couleur de ses yeux, elle possède également des membres graciles... Elle possède cependant un détail assez encombrant qui ne se remarque pas, heureusement: elle possède un doigt de sa main gauche un tout petit peu tordu... ( ~~Pour eviter d'être trop parfaite xD~~ ). Sa silhouette est élancée et elle en est plutôt fière. Sa peau est très claire, tellement d'ailleurs que si ses cheveux n'était pas noirs on l'aurait pris pour une Albinos. Elle a un visage fin, légèrement ovale. Ses lèvres sont bien dessinées et fines ; elle a un petit nez tout simple, bien droit au milieu de sa figure. Elle porte le plus souvent une robe noire, dans le genre des ghotic lolitas, dépourvue de motifs dont le bas se finit également en un dégrader soigné laissant apparaitre ses genoux, voir ses cuisses selon la robe. Des rubans vert se croisent au niveau des hanches ; Formant un grand noeud bien soigné ressemblant a un papillon. Mikan met rarement des collants, mais, ça lui arrive... Ses chaussures fétiches sont des petites ballerines également noire qu'elle attache avec un ruban entouré autour de sa cheville. Elle a des mains plutôt minces et des ongles longs (Recouverts de vernis vert, assortis à ses yeux, le plus souvent) & bien limés au bout de ses doigts. Comme les grandes dames des maisons japonaise, elle tient dans ses mains un éventail, toujours assorti a ses tenues.

» Description Morale

Un caractère bien trempé… C'est un doux euphémisme.
La personnalité de Mikan est peu aisée à cerner et les réactions de la jeune femme vous réserveront sans doute bien des surprises. Quelques traits de caractère auront cependant vite fait d’attirer votre attention. Orgueilleuse et susceptible, la demoiselle est extrèmement lunatique et surtout elle s’emporte très facilement. Ses colères sont aussi fréquentes qu’impressionnantes, mais elles ne durent en général pas bien longtemps. Il est dangereux pour n’importe qui comme pour n’importe quoi de s’attarder auprès de la belle lorsqu’elle est énervée, ses accès de colère ayant tendance à s’accompagner de comportements agressifs voire même d’envies meurtrières… Et ce serait la sous-estimer que de songer qu’elle ne pourra point vous faire de mal ; elle compense sans mal la délicatesse de sa silhouette par l’intensité de sa pratique sportive. L’impulsivité charmeuse et l’énergie de la jeune femme auront toutefois peut-être le don d’adoucir l’opinion que vous vous ferez d’elle, si vous venez à la croiser.
Mis à part ses impressionnantes colères, on peut facilement remarquer la noirceur qui ombre sa jeune âme… Mikan n’est pas exactement la gentillesse incarnée, et jamais elle n’éprouve de remords ou de culpabilité ; pour la simple et néanmoins bonne raison qu’elle ne voit aucun mal dans ses actions ou dans les plans qu’elle accomplit au sein de sa famille. N’avez-vous pas remarqué que sa vision de la beauté est assez… particulière ? Il en va de même pour sa notion du bien et du mal.
Farouche et insolente, la demoiselle a un sérieux problème avec l’autorité et les règles auxquelles il faut se plier… Il est bien difficile de la soumettre à de quelconques ordres auxquels elle ne souhaite pas obéir, et la révolte fait partie intégrante de ses occupations favorites… Que ce soit de façon violente et fort peu discrète ou de manière plus charmeuse, elle parvient toujours à éviter les corvées dont elle ne souhaite pas s’occuper… Peut-être le doit-elle à cette petite lueur mutine qui anime son regard dans ces moments de rébellion ?
Cela nous amène à la dernière chose que vous aurez vite fait de remarquer : la belle a tendance à changer d’homme comme de chemise. Charmeuse et manipulatrice, elle n’hésite jamais à user de ses charmes pour obtenir ce qu’elle désire. Que ce soit l’homme en lui-même ou un quelconque service de sa part d’ailleurs… Et puis… si la nature l’a dotée d’un physique aussi séduisant, c'est bien pour qu'elle s'en serve, non ?

» Histoire

Plus il y a de souffrance plus la beauté se révèle
Je suis née le 16 août. Léa n’a jamais cessé de me répéter que c’était une superbe journée d’été qui avait accompagné ma naissance, et que c’était là le signe de ma beauté future, selon elle… Pour moi, cette journée n’avait rien de beau. Ce jour restera à jamais entâché de mon crime. Premier crime d’une longue série, même s’il sera espacé des suivants par bien des années. Mon crime, comme mon père l’a si souvent appelé que j’ai fini par admettre cette affirmation comme vraie, est la mort de ma mère. Elle a expiré son dernier souffle à l’instant où ses yeux ont croisé mes petites prunelles s’ouvrant tout juste sur le monde… Et depuis ce jour, mon paternel considère ce qui fait ma particularité comme une mortelle malédiction. Jamais il ne m’a offert un regard, jamais un sourire… Jamais il n’a témoigné une once de fierté, d’inquiétude ou de quoi que ce soit envers moi. Entre haine profonde et indifférence, tel était-il…

Malgré tout, mon nom vous en aura peut-être soufflé l’indice, mes ancêtres faisaient partie de la noblesse et je n’ai donc jamais manqué de rien au niveau matériel. Comme pour s’excuser de toutes ses fautes futures, il a en effet offert à la nourrice à laquelle je fus confiée une très importante somme d’argent. Léa eut pour mission d’élever la descendante indigne de la noble lignée Nagoshi… Pour ma famille je reste et resterai à jamais la fille tant désirée et morte-née dans le ventre de sa mère. Après tout, avant moi, maman avait donné naissance a mon frère. La fierté de mon père. Donc si mon père ne veut pas de moi, je vivrai mieux loin de lui…

Léa a toujours été attentionnée à mon égard et on ne peut plus tendre et dévouée… Seulement elle s’est toujours positionnée comme la grande sœur aimante, la nourrice attentive ou encore la tante chargée d’élever sa nièce. Jamais il n’a été question d’une quelconque relation du type mère-fille entre nous… Et je dois admettre qu’une présence maternelle ou paternelle m’a cruellement manquée tout au long de mon enfance.

J’ai pris le chemin de l’école peu après mes six ans mais j’ai vite été forcée d’admettre que jamais mes pupilles vertes ne me permettraient de vivre normalement… À la première visite médicale avec l’école, les médecins m’ont demandé de retirer mes lentilles, et quand je leur ai dit que je n’en portais pas, il ne m’ont pas crue. Lorsqu’ils ont finalement été contraint d’admettre que je ne mentais pas; ils ont transmis mon cas si particulier à d’éminents médecins des laboratoires… sortis de je ne sais où exactement en fait, et c’est là que tout a commencé… Course poursuite incessante et épuisante.

Quelques derniers jours de répis nous ont encore été accordés à Léa et à moi, entre la visite médicale et ce fameux coup de téléphone. À peine avait-elle raccroché qu’elle tira une grosse valise de sous mon lit pour y enfouir tout le contenu de ma garde-robe, m’incitant à rassembler les affaires auxquelles je tenais. Et nous avons pris la fuite, première d’une longue série. Elle a refusé de m’expliquer les raisons de ce départ précipité pendant bien des années, jugeant qu’il était inutile d’inquiéter la petite fille encore insouciante et naïve que j’étais. Mais je sais désormais qu’elle a fui pour me protéger; pour empêcher ces fameux chercheurs de mettre la main sur moi.

Ce n’était pas la vie dont j’avais toujours révé mais malgré tout je n’étais pas trop mal et pas malheureuse. Jusqu’à mes quinze ans en tous cas… Quelques mois après mon quinzième anniversaire, j’ignore toujours comment, les hommes de mains de mon père ont retrouvé ma trace. Savaient-ils depuis le départ où j’étais et n’en avaient-ils momentanément rien à faire, ou bien m’ont-ils cherché sans relache pendant toutes ces années pour me retrouver ? Quoiqu’il en soit, ils ont été bien plus prudents cette fois-ci, et sans prévenir Léa ils ont encerclé la vaste demeure que nous habitions avant d’entrer pour s’emparer de la jeune fille que j’étais devenue.

C’est la dernière fois que j’ai vu Léa… La vision de ma grande sœur, meilleure amie, et nourrice tout à la fois se débattant vainement pour me protéger alors qu’elle était maintenue par ces hommes armés m’a probablement arraché le peu de bon cœur que j’avais à l’époque, pour ne laisser mon âme que noire et obscure, parfaitement prête à servir la cause de la guerre et de ma famille.
Parfois encore les cris désespérés de Léa retentissent dans mes songes nocturnes et je me réveille en sursaut, cherchant vainement sa présence dans l’obscurité… Je suis fière, insoumise et indépendante mais fragile aussi, même si je déteste l’admettre.

J’ai passé quelques mois à subsister comme je le pouvais - je m’en tirais pas mal, tout de même - et surtout à fuir mes poursuivants, cachant ma particularité à tous. Et un jour, Je tomba sur le chef des Doku Nin'Gyou. Mon propre frère. Ayant été chassé par mon père à cause de la haine que je lui insufflait, je n'avais jamais, comme les autres Nagoshi, considérer les Doku comme une grande famille unie. Bien sûr eux ignorait jusqu'a mon existence. Croyant que j'était morte en même temps que ma mère. J’ignore comment il m’a trouvée, comment il a entendu parler de moi ou pourquoi il s’est adressée à ma personne, peut être les liens du sang qui réclamait leurs droits. Il m'annonça que notre père était décédé et que sur son lit de mort, il avait révéler la vérité de sur ma naissance. Mais quoiqu’il en soit il m’a proposé de rejoindre le clan, et j’ai accepté… J’ai rejoint la famille par facilité et recherche de confort… J’y reste par idéologie.

Peu de temps ce sont écoulé. Je croyais enfin gouter au bonheur. Mais tout bascula a nouveau et les choses s'emboitèrent très vite, un peu comme des légo. J'etais restée au QG. En fait, je n'en bougeais que rarement à cette époque. Mon frère m'avait fait découvrir le show business et ma vie se résumait a ça. Travail. scéance photos. QG. et c'est tout. je ne sortais jamais. Mon frère devenu trop possessif à mon égard. Il voulait me garder pour lui seul. J'était sa chose. Sa poupée. Mais un beau jour, au cours d'une mission, il disparut. sans laisser aucune trace. Certain disent qu'il est encore vivant et attend son heure de grand retour quelque part. D'autre pensent qu'il est mort. Et moi, je n'en sais rien.

Je suis devenue le chef de famille sans m'en rendre compte. Les gens me prenant pour la reine des abeilles depuis la disparition. Ils s'étaient tous tourné vers moi en quête d'information, mission, en gros, ils réclamaient mes ordres. Si on me l'avait dit un jour, je ne l'aurait jamais cru. Comme quoi la vie réservent bien des surprise.

The end... Or not !

La fin n'arrive jamais vraiment car la plus grande des aventures est toujours celle qui nous restes à vivre ~

Jolie =O

Validée ^^

Merci <3

Oui j'oublierai pas de faire appel a tes services xD

Bienvenue madame ! =P Belle fiche =O

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